Dans le monde fascinant de la mycoculture, alors que la plupart des passionnés se concentrent sur des paramètres tels que l'humidité, la température et la composition du substrat, il existe un facteur décisif mais systématiquement sous-estimé : la relation complexe et merveilleuse entre les champignons et les bactéries bénéfiques.
En se promenant dans une forêt humide en été, parmi la mousse et les feuilles mortes, l'œil expert cherche ce champignon jaune doré si particulier qui se détache tel un soleil dans le sous-bois humide. Il s'agit du Chantarellus cibarius, connu en Italie sous les noms de finferlo, gallinaccio ou giallitto, l'un des champignons les plus appréciés et recherchés, véritable joyau de la mycologie et de la gastronomie sauvage.
Dans le monde fascinant des champignons, ce que l'on voit à la surface – la fructification, le « champignon » classique – n'est que la partie émergée de l'iceberg. La véritable magie se produit sous terre, où s'étend un dense réseau de filaments appelé mycélium…